C’est une belle effervescence qui règne ces jours-ci chez Vêtements Peerless. Près d’une centaine d’étudiantes et d’étudiants en francisation, de niveaux variés, entreprennent leurs cours de français avec enthousiasme. Pour plusieurs, il s’agit d’une première étape vers une meilleure intégration au travail et à la société québécoise.
Ces cours sont le fruit d’une collaboration exemplaire entre Vêtements Peerless et la Section locale 106 du Syndicat des Teamsters. Nous les remercions de permettre la tenue de ces cours.
Ensemble, nous avons su bâtir un projet porteur, axé sur le respect, la solidarité et le développement des compétences. Ce partenariat démontre qu’un syndicat et une entreprise peuvent travailler main dans la main pour améliorer concrètement la vie des travailleuses et des travailleurs.
Depuis plusieurs années, le Local 106 se fait un fier défenseur de la francisation en milieu de travail. Chez Vêtements Peerless, où se côtoient des employés venus des quatre coins du monde, le français sert de langue commune, favorisant la cohésion et la compréhension mutuelle. Ces cours contribuent à renforcer cette unité et à offrir à chacun et chacune de meilleures perspectives professionnelles.
Dans le contexte actuel où le gouvernement du Québec remet en question la pertinence et le financement des programmes de francisation, nous croyons qu’il est essentiel de rappeler leur importance. Nous invitons d’ailleurs nos députés et ministres à venir constater sur le terrain le succès de cette initiative. Ce qui se passe chez Vêtements Peerless prouve qu’avec du dialogue et une vision commune, il est possible de conjuguer performance, rendement, inclusion et valorisation de la langue française.















